On a passé quelques mois à penser et préparer ce qu’on pouvait préparer à l’avance. Il y a eu les visas, mais là c’était il y a une éternité (décembre). Puis le permis de conduire international (10 semaines de délais, l’administration française dans toute sa splendeur !). Les billets d’avions. Le planning du voyage (lecture des guides, trajet sur Furkot).
Puis le dernier mois, on accélère un peu. La banque pour la pause sur le prêt. La souscription de l’assurance complémentaire (Chapka). Les échanges avec le collège (au passage, nous remercions vivement de leur compréhension et de leur soutien la Directrice et le Professeur principal qui se reconnaîtront). Achat du matériel photo et autres
Et là, sur les deux dernières semaines, c’est le tourbillon ! Visites médicales (trousse à pharmacie), fêtes de départ (au travail et avec familles et amis), on retire des dollars, on commence les valises … On a même appelé pour un camping-car qui nous plaisait, mais il faudra rappeler le jour où on sera sur place, pas de réservation, tout est dans l’instant là-bas !
Donc on est assez stressés, beaucoup moi d’ailleurs, mais même Mathieu d’ordinaire si pausé court dans tous les sens en ce moment (et il mange plein de chocolat !). Et surtout la raison me ramène parfois à des « mais qu’est-ce qu’on a fait ! on est fous ! ». Et toujours le cœur répond « fous oui, mais extraordinaires ! » et se met à battre plus fort encore chaque jour !